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merci à toi bernard et à ginette.je ne sais pas si j'aurai d'autres idées de ce genre !
bonne soirée .
bisou
Par jacquelinelabeyrie, le 26.05.2025
merci a tous pour l'écoute , et merci jacqueline pour le texte et la chute , si tu en as d'autres je prend hi
Par Anonyme, le 26.05.2025
merci patrick !
bonne soirée.
bise s. http://jacquel inelabeyrie33. centerblog.net
Par jacquelinelabeyrie, le 26.05.2025
bonsoir jacqueline
br avo pour ce très joli texte qu interprète bernard et son épouse
je te souhaite jacquel
Par DENYS Patrick , le 26.05.2025
merci beaucoup patrick c'est très gentil.
bonne journée.
bis es http://jacquel inelabeyrie33. centerblog.net
Par jacquelinelabeyrie, le 26.05.2025

· LES NOCES D'OR
· ETRE GRAND-MERE
· NE JOUEZ PAS AU SOLDAT
· J'AIME LE CHOCOLAT !!
· pour toutes les "copines de la gym"
Date de création : 26.06.2012
Dernière mise à jour :
26.05.2025
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Interprétation Musique et clip
Julian RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
Laissez-moi croire encore au vrai bonheur
Laissez- moi croire encore aux champs de fleurs
Je veux rêver
Laissez-moi penser que le monde est beau
Laissez-moi penser qu’il fait toujours chaud
Dans notre cœur
Laissez-moi penser que tout me sourit
Laissez-moi penser que j’ai toute la vie
Pour apprécier
Je ne veux surtout pas être sage
Je veux danser je veux rêver
Je veux aimer le livre d’images
Ne me dites pas la vérité
Laissez-moi croire surtout au lendemain
Laissez-moi surtout croire à l’être humain
Juste essayer
Laissez-moi penser que je peux voler
Laissez-moi penser que je peux oser
Je veux y croire
Laissez-moi croire à un monde en paix
Laissez-moi croire à des hommes sensés
Sérénité
Je ne veux surtout pas être sage
Je veux danser je veux rêver
Je veux aimer le livre d’images
Ne me dites pas la vérité
-
Interprétation Musique et clip
Julian RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
La vie est un jeu de dès
Et nous n’avons pas le pouvoir
Souvent les dès sont truqués
Il faut préparer le mouchoir
Où bien relever la tête
Penser que tournent les vents
Chasser tous les trouble-fête
Positiver obstinément
Où es-tu ma bonne étoile ?
Je te cherche depuis longtemps
Où es-tu ma bonne étoile ?
J’ai besoin de toi vraiment
Il y a des moments de doute
Et là on baisse les bras
Et puis on reprend la route
On avance pas à pas
Même si de nouvelles embuches
Nous empêchent de marcher
Résister quand on trébuche
Permet de ne pas sombrer
Où es-tu ma bonne étoile
Je te cherche depuis longtemps
Où es-tu ma bonne étoile
J’ai besoin de toi vraiment
Que faut-il pour réussir ?
De la chance de l’audace ?
Surtout arrêter de gémir
Et puis gagner notre place
Pourtant un petit coup de pouce
Serait parfois bienvenu
Mais les manches on se retrousse
Car la chance est en vue !
Où es-tu ma bonne étoile
Je te cherche depuis longtemps
Où es-tu ma bonne étoile
J’ai besoin de toi vraiment
Interprétation Musique et Clip
Julian RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
J’ai compris
qu’il faut aimer la vie
pour ne pas sombrer
dans la mélancolie
quand de jour en jour
disparait l’amour
même si l’on y croit
comme personne
j’ai compris
qu’il nous faut résister
à l’appel constant
des tentations risquées
quand de jour en jour
à chaque détour
une main se tend
et implore
j’ai compris
que c’est très compliqué
de vivre sa vie
en oubliant d’aimer
même si les pleurs
brisent notre cœur
nous avons tous droit
au bonheur
j’ai compris
qu’il faut se détacher
de ces souvenirs
qui ne font que gâcher
le bel avenir
qui pourrait s’offrir
et rendre la vie
bien meilleure
Interprétation , Musique et vidéo
Julian RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
Quand je puise dans mes vieux rêves
Quand je puise dans mon passé
Repenser à ces chimères
Me déprime
Quand je puise dans mes vieux rêves
Je ne peux que ressasser
Que tous les amours s’achèvent
Pantomime
Quand je puise dans mes vieux rêves
Je ne peux que regretter
D’avoir cru à l’imaginaire
Surestime
Quand je puise dans mes vieux rêves
Je revois ma verve obstinée
L’envie de vivre sans trêve
Légitime
Quand je puise dans mes vieux rêves
Je vois du bon du mauvais
Une vie quand le jour se lève
Bonne mine
Interprétation Musique et clip
JULIAN RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
Etre sous les projecteurs
Etre aimé et adulé
Surtout chanter avec son cœur
Pour un public captivé
Je ne suis pas un inconnu
J’ai mon public qui me soutient
Même si personne dans la rue
Ne se retourne sur mon chemin
J’ai la musique dans la peau
J’aime chanter et composer
Je revis avec un micro
Même si parfois je peux douter
Etre sous les projecteurs
Etre aimé et adulé
Surtout chanter avec son cœur
Pour un public captivé
J’aurais voulu être remarqué
Et séduire un chasseur de tête
Pour pouvoir en faire mon métier
Et vivre de ma passion secrète
Tant de chanteurs tout comme moi
Sont restés seuls et inconnus
Même si ce n’était pas leur choix
Leur talent n’est pas reconnu
Etre sous les projecteurs
Etre aimé et adulé
Surtout chanter avec son cœur
Pour un public captivé
Le succès tient à peu de chose
Rencontrer la bonne personne
Sans être un grand virtuose
Et le système vous façonne
Pas besoin d’avoir du talent
Simplement une bonne étoile
Moi j’ai des fans depuis longtemps
Qui me soutiennent sur la toile
Etre sous les projecteurs
Etre aimé et adulé
Surtout chanter avec son cœur
Pour un public captivé
Interprétation Musique et Clip
Julian RENAN
Texte
Jacqueline LABEYRIE
C’est une maison étrange
Bâtie près d’ une grange
Qui cache bien son passé
J’aimerai le dénicher
Il s’y passe des choses
Irréelles je suppose
Que je ne comprends pas
Qui me font peur parfois
Chaque maison a son passé
Faut-il y croire ou l’ignorer
Pour y vivre calmement
Sereinement
Cette sensation curieuse
D’une maison silencieuse
Qui abrite des ombres
Dans tous les recoins sombres
L’impression très souvent
D’une présence vraiment
Juste derrière mon dos
Qui se cache aussitôt
Chaque maison a son passé
Faut-il y croire ou l’ignorer
Pour y vivre calmement
Sereinement
Le craquement du plancher
Fait grandir l’anxiété
Les fantômes et leurs chaines
Et toutes ses âmes en peine
Personne ne les a vu
Ils se sont bien fondus
Dans la pierre et le bois
Créant le désarroi
Chaque maison a son passé
Faut-il y croire ou l’ignorer
Pour y vivre calmement
Sereinement
Interprétation et Musique
Julian RENAN
Texte et clip
Jacqueline LABEYRIE
A l’âge tendre de l’innocence
A l’âge tendre de l’insouciance
Nos jeunes destins se sont croisés
Pour ne plus jamais se quitter
Nous habitions à la campagne
Et nous nous retrouvions souvent
Sans attendre que l’ennuie nous gagne
Nous allions jouer dans les champs
A l’âge tendre de l’innocence
A l’âge tendre de l’insouciance
Nos jeunes destins se sont croisés
Pour ne plus jamais se quitter
Au gré de nos grandes aventures
De toutes nos bétises d’enfant
Bien au-delà de nos gageures
La vie s’écoulait doucement
De beaux chevaux près de chez nous
Nous attirait vers de beaux rêves
De chevaliers et de voyous
De princesses , de guerre et de trêve
Au gré de nos grandes aventures
De toutes nos bétises d’enfant
Bien au-delà de nos gageures
La vie s’écoulait doucement
Les années se sont écoulées
Nous menant vers l’adolescence
Changeant nos centres d’intérêt
Et nous éloignant de l’enfance
Nous aimions bien nous retrouver
Pour partager des confidences
Tout’ la nuit nous pouvions parler
Nous pouvions passer des nuits blanches
Les années se sont écoulées
Nous menant vers l’adolescence
Changeant nos centres d’intérêt
Et nous éloignant de l’enfance
Parler de nos chagrins d’amour
De nos projets , nos ambitions
D’une chanson entendue un jour
Que l’on chantait à l’unisson
Aujourd’hui notre vie d’adulte
A permis de réaliser
Nos rêves sans aucun tumulte
Et de ne pas nous séparer
De nous retrouver avec joie
De rire de nos souvenirs
Partager de nouveaux exploits
Et de parler de l’avenir
A l’âge tendre de l’innocence
A l’âge tendre de l’insouciance
Nos jeunes destins se sont croisés
Pour ne plus jamais se quitter
Interprétation et Musique
Julian RENAN
Texte et clip
Jacqueline LABEYRIE
Je pense à toi c’est une souffrance
La maladie de ton absence
Je pense à toi c’est un calvaire
Et le franchir me désespère
Si je pouvais tout oublier
Te balayer de mes pensées
Pour moi tout deviendrait plus clair
Je retrouverais mes repères
Je pense à toi c’est une souffrance
La maladie de ton absence
Je pense à toi c’est un calvaire
Et le franchir me désespère
Mais ta présence m’envahie
Plus que jamais tu es ma vie
Tu es là à tous les instants
Je pense à toi à tout moment
Je pense à toi c’est une souffrance
La maladie de ton absence
Je pense à toi c’est un calvaire
Et le franchir me désespère
Mais ai-je envie de te bannir
De te chasser de l’avenir
Je ne crois pas être capable
De t’oublier c’est redoutable
Je pense à toi c’est une souffrance
La maladie de ton absence
Je pense à toi c’est un calvaire
Et le franchir me désespère
Alors je vais vivre avec toi
Dans mes pensées tu seras là
Tant pis si ce n’est qu’un mirage
Je n’oublierai pas ton image
Interprétation et Musique
Julian RENAN
Texte et clip
Jacqueline LABEYRIE
Une belle journée d’automne
Mille neuf cent quatre vingt dix huit
Pointant ton nez dans notre monde
Tu ensoleilles notre vie
Cette naissance tant attendue
Petite fille magnifique
Un prénom qui nous a tant plu
Qui chante comme une musique
Brel l’a chanté avec Amour
Disant que tu es revenue
Pour moi tu seras pour toujours
L’espoir , la joie mais le sais-tu ?
Accrochée à tous tes sourires
Tes premiers pas , première dent
Le temps passe plein de souvenirs
Que l’on partage tendrement
Tu as grandi beaucoup trop vite
Mais qu’importent les jours le temps
Car cet amour qui nous habite
Continuera malgré les ans
Une belle journée d’automne
Mille neuf cent quatre vingt dix huit
Pointant ton nez dans notre monde
Tu ensoleilles notre vie
Interprétation et Musique
Julian RENAN
Texte et clip
Jacqueline LABEYRIE
Toute seule assise sur le banc
Dans ce grand parc très fréquenté
Sa vie défile comme un roman
Elle ne voit pas les gens passer
Elle repense à sa jeunesse
A ses années d’indifférence
Quand elle croyait que la vieillesse
Ne changerait pas son existence
Quand la maison tremblait de joie
Des rires des pleurs de ses enfants
Et qu’elle oubliait quelquefois
De s’occuper d’elle un instant
Toute seule assise sur le banc
Dans ce grand parc très fréquenté
Sa vie défile comme un roman
Elle ne voit pas les gens passer
Elle a vécu cette aventure
Avec l’amour au fond du cœur
Elle a vécu des déchirures
Qui ont brisé son grand bonheur
Elle n’craignait pas les lendemains
N’avait pas peur de son futur
Des amis lui tenaient la main
Quand la vie était un peu dure
Toute seule assise sur le banc
Dans ce grand parc très fréquenté
Sa vie défile comme un roman
Elle ne voit pas les gens passer
Et puis les années ont passé
Les enfants ont quitté le nid
Sur son corps le temps a marqué
Toutes les embuches de la vie
Dans la maison c’est le silence
Qui rythm’ la vie de tous les jours
Plus de cris , plus de turbulences
La solitude pour seul parcours
Toute seule assise sur le banc
Dans ce grand parc très fréquenté
Sa vie défile comme un roman
Mais n’a plus aucun intérêt